C »est le nom donné à la famille composée de Jésus, Marie et Joseph.
Jésus a voulu naître, grandir, être élevé et vivre dans le cadre d’une famille pendant 30 ans.
La Sainte Famille a principalement vécu à Nazareth dans la province de Galilée, avec une interruption de plusieurs années en Égypte.
Joseph exerçait le métier de charpentier et Jésus a été à son école.
La Sainte Famille est un modèle pour toutes les familles de la terre.
La Sainte Famille est célébrée le dimanche qui suit la fête de Noël.
Dessins
– Fuite en Égypte (évangile commenté année A)
– Jésus présenté au Seigneur par ses parents (évangile commenté année B)
– Pourquoi nous as-tu fais cela ? (évangile commenté année C)
Vidéo
– Le Temps de Noël (la Sainte-Famille est évoquée dans cette vidéo)
Diaporama
– LE TEMPS DE NOËL (la Sainte-Famille est évoquée dans ce diaporama)
Pour aller plus loin
– Vivre l’année liturgique avec les enfants > La fête de la Sainte Famille : pages 45 à 49.
– Les leçons de Nazareth (extrait d’une homélie de saint Paul VI)
Une leçon de silence
Une leçon de silence d’abord. Que renaisse en nous l’estime du silence, cette admirable et indispensable condition de l’esprit, en nous qui sommes assaillis par tant de clameurs, de fracas et de cris dans notre vie moderne, bruyante et hyper sensibilisée.
Ô silence de Nazareth, enseigne nous le recueillement, I’intériorité, la disposition à écouter les bonnes inspirations et les paroles des vrais maîtres ; enseigne-nous le besoin et la valeur des préparations, de l’étude, de la méditation, de la vie personnelle et intérieure, de la prière que Dieu seul voit dans le secret.
Une leçon de vie familiale
Que Nazareth nous enseigne ce qu’est la famille, sa communion d’amour, son austère et simple beauté, son caractère sacré et inviolable ; apprenons de Nazareth comment la formation qu’on y reçoit est douce et irremplaçable ; apprenons quel est son rôle primordial sur le plan social.
Une leçon de travail
Nazareth, maison du « fils du charpentier » (Mt 13, 55) : c’est ici que nous voudrions
– comprendre et célébrer la loi sévère et rédemptrice du labeur humain ;
– rétablir la conscience de la noblesse du travail ;
– rappeler que le travail ne peut pas avoir une fin en lui même, mais que sa liberté et sa noblesse lui viennent, en plus de sa valeur économique, des valeurs qui le finalisent.